Les petits cailloux, Mémoires d'un instituteur
EAN13
9782234057289
ISBN
978-2-234-05728-9
Éditeur
Stock
Date de publication
Collection
Essais - Documents
Nombre de pages
336
Dimensions
21,5 x 13,5 x 1,8 cm
Poids
376 g
Langue
français
Code dewey
372.92
Fiches UNIMARC
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Les petits cailloux

Mémoires d'un instituteur

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Ce samedi de juin 2002, dans la petite école de Saint-Étienne-sur-Usson, au cœur du Puy-de-Dôme, Georges Lopez donne une dernière leçon aux élèves de la classe unique où il a enseigné pendant plus de trente ans. De lui, nous ne connaissons que les images du documentaire Être et Avoir : celles d’un maître d’école rigoureux, attentif, tenaillé par la passion d’enseigner. Aujourd’hui, c’est l’histoire de cette passion qu’il nous dévoile, à la première personne, dans un récit aux accents tendrement nostalgiques. Avec un formidable talent de conteur, Georges Lopez évoque d’abord l’univers pittoresque et jubilatoire des villages du Roussillon où ce fils d’immigrés catalans a grandi : les saveurs de la cuisine maternelle, la rudesse des travaux des champs, les parfums rustiques de l’école communale peuplent ses souvenirs d’enfance. La curiosité du petit Georges est insatiable. Très vite, il se choisit un avenir : il deviendra maître d’école. Viennent l’adolescence et les débuts de la vie d’homme, parfois difficiles, mais qui ne feront que confirmer sa vocation : malgré les échecs et les doutes, il décroche son premier poste de remplaçant, puis se titularise. C’est le début de longues années de pratique pédagogique et de réflexions sur l’art d’enseigner. Au fil des pages et des souvenirs, Georges Lopez décrypte l’engagement qui l’a conduit à accepter de prendre en charge une classe unique puis, plus tard, de participer au projet d’Être et Avoir. Il nous raconte cette aventure singulière, nous en dévoile les joies et les grandes déceptions et nous explique les raisons qui l’ont poussé à attaquer en justice la production du documentaire. À l’issue d’une saga judiciaire qu’il n’a pas gagnée, Georges Lopez nous demande d’entendre sa version des faits, et nous propose de lire ce que les images du film lui ont souvent dérobé : le quotidien sans mise en scène d’un instituteur convaincu qu’il exerce le plus beau métier du monde.
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