La haine de l'Occident, Entre sinophilie, islamolâtrie et afrocentrisme : l'escroquerie intellectuelle
EAN13
9782841912766
ISBN
978-2-84191-276-6
Éditeur
BOUILLON
Date de publication
Collection
ESSAI
Nombre de pages
300
Dimensions
2,4 x 1,6 x 2,5 cm
Poids
600 g
Langue
français
Code dewey
303.4821713017165
Fiches UNIMARC
S'identifier

La haine de l'Occident

Entre sinophilie, islamolâtrie et afrocentrisme : l'escroquerie intellectuelle

De

Bouillon

Essai

Offres

La civilisation occidentale serait coupable de trop de vilenies. Elle aurait tout volé aux autres, en particulier, disent les afrocentristes, la philosophie et la science à l’Afrique noire qui les a inventées. De ce fait, elle ne serait rien par elle-même. Elle n’existerait pas. Il n’y a donc rien à sauver, rien à défendre. Il faut la détruire. Pour cela, il faut l’abaisser pour la mettre à portée des coups. On prône alors, dans une première étape, que toutes les civilisations sont égales, toutes les cultures sont égales. Dans une deuxième, paradoxalement, il faut prôner l’infériorité de la civilisation occidentale, en soulignant ses turpitudes, dénigrant ses spécificités, la science qu’elle a inventée, ses techniques. Il faut imposer aux Occidentaux le dégoût d’eux-mêmes, susciter des élans de repentance. Il faut mentir sur l’esclavage, sur la colonisation, sur les génocides, faisant d’eux une perversion du seul Occident. Il faut mentir sur le Moyen Âge, époque fondatrice, qui fut une période de réalisations très riche, pas une période d’obscurantisme.
Face à ces dénis, l’étude d’éléments culturels de Chine, d’Islam, d’Afrique, et d’Occident jusqu’à la fin du Moyen Âge, souligne que la civilisation occidentale, en vertu du dogme, n’est pas inférieure aux autres. Aller au-delà du Moyen Âge ne serait pas fair play : les autres civilisations depuis n’ont rien produit.
Bernard Vidal, dans sa carrière de professeur des universités, a enseigné notamment l’histoire des sciences et il a écrit plusieurs livres dans ce domaine.
S'identifier pour envoyer des commentaires.