Derrière le miroir

J’ai toujours cultivé l’amour des mots. Pour moi, « la poésie est la langue des émotions ». Je considère la poésie comme une thérapie, un exutoire, un générateur de bien-être. À 15 ans j’avais écrit des textes, consignés dans un cahier perdu lors de déménagements. Je ne me souviens que de quelques bribes que je n’ai pour l’instant réutilisées que dans un seul. Mais le fait est qu’au fil des années et des rencontres, la quarantaine bien entamée, écrire a fini par s’avérer être une évidence et un exutoire extraordinaire, d’abord dans un journal intime, puis dans des pensées philosophiques. Fin 2016, je décide d’apprendre la guitare et deux ans plus tard, j’explique en plaisantant à une connaissance que j’allais écrire une chanson sur la mélodie qu’il avait composée. Ce fut le tout premier texte. Fin 2019, mon idée consiste alors à créer des chansons, paroles et musique. Le confinement de mars 2020 aura ensuite déclenché une avalanche de textes qui, finalement, finissent par être plus souvent des poèmes. Et c’est devenu une véritable passion.