- EAN13
- 9791036204135
- ISBN
- 979-10-362-0413-5
- Éditeur
- ENS Éditions
- Date de publication
- 18/11/2021
- Collection
- Tohu Bohu
- Nombre de pages
- 230
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'écran de nos pensées
Stanley Cavell, la philosophie et le cinéma
De Élise Domenach
ENS Éditions
Tohu Bohu
Offres
-
Vendu par Les Lisières à Villeneuve d'Ascq24.00
Autre version disponible
De _L'Extravagant Mr Deeds_ (Capra), _The Philadelphia Story_ (Cukor), _La
Balade sauvage_ (Malick) jusqu’à _Comment je me suis disputé… (ma vie
sexuelle)_ (Desplechin) et _La Fille inconnue_ (Jean-Pierre et Luc Dardenne),
un fil court, celui des lectures philosophiques de films de Stanley Cavell et
des films qu’elles ont inspiré. Peu d’œuvres philosophiques ont autant marqué
la création cinématographique et aussi profondément marqué le champ des études
cinématographiques que celle du philosophe de Harvard (né en 1926 et disparu
en 2018). De son chef d’œuvre de 1971, _La Projection du monde_ , à ses
derniers écrits sur le mélodrame, l’autobiographie et la critique ( _La
Protestation des larmes, Le cinéma nous rend-il meilleurs?_ ) en passant par
son grand livre sur la comédie hollywoodienne ( _A la recherche du bonheur_ ),
cet ouvrage éclaire l’ensemble de sa pensée. Il donne aussi la parole à trois
cinéastes qui l’ont connu et qui ont été inspirés par ses écrits: Luc
Dardenne, Arnaud Desplechin, Claire Simon. Et se penche sur le lien que Cavell
a entretenu avec Terrence Malick à Harvard dans les années 1960, lorsqu’il
enseigna le premier séminaire de cinéma au sein d’un département de
philosophie (vingt ans avant Deleuze), jetant les bases d’une pensée du cinéma
qui prend son départ dans notre expérience aussi bien collective qu’intime des
films. Cette expérience qui nous unit ou nous rapproche des autres. Et qui
nous permet aussi, plongeant en nous-mêmes, de nous éduquer.
Balade sauvage_ (Malick) jusqu’à _Comment je me suis disputé… (ma vie
sexuelle)_ (Desplechin) et _La Fille inconnue_ (Jean-Pierre et Luc Dardenne),
un fil court, celui des lectures philosophiques de films de Stanley Cavell et
des films qu’elles ont inspiré. Peu d’œuvres philosophiques ont autant marqué
la création cinématographique et aussi profondément marqué le champ des études
cinématographiques que celle du philosophe de Harvard (né en 1926 et disparu
en 2018). De son chef d’œuvre de 1971, _La Projection du monde_ , à ses
derniers écrits sur le mélodrame, l’autobiographie et la critique ( _La
Protestation des larmes, Le cinéma nous rend-il meilleurs?_ ) en passant par
son grand livre sur la comédie hollywoodienne ( _A la recherche du bonheur_ ),
cet ouvrage éclaire l’ensemble de sa pensée. Il donne aussi la parole à trois
cinéastes qui l’ont connu et qui ont été inspirés par ses écrits: Luc
Dardenne, Arnaud Desplechin, Claire Simon. Et se penche sur le lien que Cavell
a entretenu avec Terrence Malick à Harvard dans les années 1960, lorsqu’il
enseigna le premier séminaire de cinéma au sein d’un département de
philosophie (vingt ans avant Deleuze), jetant les bases d’une pensée du cinéma
qui prend son départ dans notre expérience aussi bien collective qu’intime des
films. Cette expérience qui nous unit ou nous rapproche des autres. Et qui
nous permet aussi, plongeant en nous-mêmes, de nous éduquer.
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