- EAN13
- 9782848768557
- Éditeur
- Philippe Rey
- Date de publication
- 14/01/2021
- Collection
- Roman français
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Philippe Rey 14,00
Les itinéraires poétiques d'un intellectuel africain à travers le monde
Ce texte célèbre le voyage et son charme essentiel : la rencontre de
l'inattendu. Felwine Sarr y évoque les lieux qu'il découvre lors de ses
pérégrinations, mais aussi les paysages intérieurs que ceux-ci dessinent en
lui. Car si le voyage est une déambulation sensible sur les chemins du monde,
il est parfois immobile et se fait au point nul de l'errance.
Des endroits de son enfance au Sénégal jusqu'aux villes visitées – Kampala,
Douala, Mexico, Mantoue, Le Caire, Istanbul, Port-au-Prince, Cassis... –,
l'auteur donne à voir, à sentir et à entendre le quotidien, ses angles morts
et ses lignes de fuite : les seaux pleins de mollusques portés par des femmes
qui " marchent sur l'eau " vers l'île de Kooko, le rythme d'un fado entonné
dans une rue de Lisbonne, ou la saveur toute particulière des derniers mètres
d'une course à pied... Justesse d'une poésie oubliée du monde, rugosité de ses
échos troublés.
L'île de Niodior est la matrice, un point d'ancrage et de désancrage où
Felwine Sarr revient périodiquement. Car si les voyages provoquent
l'émerveillement face à l'ailleurs, ils sont surtout un retour à soi-même, et
une invite à écouter ses voix les plus intimes.
Ce texte célèbre le voyage et son charme essentiel : la rencontre de
l'inattendu. Felwine Sarr y évoque les lieux qu'il découvre lors de ses
pérégrinations, mais aussi les paysages intérieurs que ceux-ci dessinent en
lui. Car si le voyage est une déambulation sensible sur les chemins du monde,
il est parfois immobile et se fait au point nul de l'errance.
Des endroits de son enfance au Sénégal jusqu'aux villes visitées – Kampala,
Douala, Mexico, Mantoue, Le Caire, Istanbul, Port-au-Prince, Cassis... –,
l'auteur donne à voir, à sentir et à entendre le quotidien, ses angles morts
et ses lignes de fuite : les seaux pleins de mollusques portés par des femmes
qui " marchent sur l'eau " vers l'île de Kooko, le rythme d'un fado entonné
dans une rue de Lisbonne, ou la saveur toute particulière des derniers mètres
d'une course à pied... Justesse d'une poésie oubliée du monde, rugosité de ses
échos troublés.
L'île de Niodior est la matrice, un point d'ancrage et de désancrage où
Felwine Sarr revient périodiquement. Car si les voyages provoquent
l'émerveillement face à l'ailleurs, ils sont surtout un retour à soi-même, et
une invite à écouter ses voix les plus intimes.
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