- EAN13
- 9782707349316
- Éditeur
- Les Éditions de Minuit
- Date de publication
- 05/10/2023
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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On ne cesse d’affirmer, depuis l’Antiquité et plus encore depuis Freud,
qu’Œdipe aurait tué son père. Mais cette accusation ne résiste pas à l’examen.
En menant avec rigueur l’enquête sur les circonstances du meurtre et en
révélant l’identité de l’assassin, ce livre montre que des pans entiers de
notre culture reposent sur une erreur judiciaire. « Comme les opérations de
rectification précédentes, Œdipe n’est pas coupable est drôle, brillant,
stimulant et dérangeant. On sait que sous leurs habits provocateurs, les
analyses de Pierre Bayard incitent à dépasser les lectures officielles et à
penser par soi-même. » (Isabelle Rüf, Le Temps) « Inutile d’avoir lu Sophocle
pour suivre cette nouvelle enquête : notre détective en restitue les sources,
(…) et croise enfin les données disponibles avec leurs interprétations
successives. Conclusion de cette brillante relecture : Œdipe s’est accusé à
tort. Et Pierre Bayard de livrer un ultime coup de théâtre : les pièces de
Sophocle cèlent un crime plus grave encore, que Freud n’avait su voir. Le
voici révélé pour la première fois. » (Jean-Louis Jeannelle, Le Monde des
livres)
qu’Œdipe aurait tué son père. Mais cette accusation ne résiste pas à l’examen.
En menant avec rigueur l’enquête sur les circonstances du meurtre et en
révélant l’identité de l’assassin, ce livre montre que des pans entiers de
notre culture reposent sur une erreur judiciaire. « Comme les opérations de
rectification précédentes, Œdipe n’est pas coupable est drôle, brillant,
stimulant et dérangeant. On sait que sous leurs habits provocateurs, les
analyses de Pierre Bayard incitent à dépasser les lectures officielles et à
penser par soi-même. » (Isabelle Rüf, Le Temps) « Inutile d’avoir lu Sophocle
pour suivre cette nouvelle enquête : notre détective en restitue les sources,
(…) et croise enfin les données disponibles avec leurs interprétations
successives. Conclusion de cette brillante relecture : Œdipe s’est accusé à
tort. Et Pierre Bayard de livrer un ultime coup de théâtre : les pièces de
Sophocle cèlent un crime plus grave encore, que Freud n’avait su voir. Le
voici révélé pour la première fois. » (Jean-Louis Jeannelle, Le Monde des
livres)
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