- EAN13
- 9782380940527
- Éditeur
- Nouveau Monde éditions
- Date de publication
- 20/01/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
Admirés par Zola mais boudés de leur vivant, Edmond et Jules de Goncourt sont
aujourd’hui reconnus pour leurs talents de romanciers, et la célèbre Académie
créée par Edmond. Mais ce que l’on ignore, c’est que les deux frères étaient
aussi des passionnés d’histoire. Dans la continuité de leurs oeuvres
naturalistes,
qui mettent souvent en scène la gent féminine, les deux hommes se sont
penchés sur la condition des femmes qui les ont précédés.
Dans La Femme au XVIIIe siècle, les Goncourt décortiquent le quotidien des
jeunes filles et les conséquences d’une éducation souvent oppressante.
Dans les plus hautes sphères sociales, ils dépeignent une éducation qui
empêche toute spontanéité : grâce factice, éducation religieuse et stricte du
couvent, mariage sans consultation…
Sont dépeintes aussi les femmes philosophes, celles qui tiennent salon, comme
Mme de Tencin, Mme de Lambert ou Mme du Deffand, et les intrigantes prêtes à
défaire des ministères…
Au sein de la bourgeoisie, la famille limite le passage au couvent et préfère
laisser aux jeunes femmes le libre choix de leur époux. Enfin, pour reprendre
la formule des Goncourt, la femme du peuple « n’est femme que par le sexe,
est peuple
avant d’être femme ». Pourtant, les archives retrouvées par les deux
écrivains montrent que les actrices et les courtisanes étaient traitées en
égal dans la haute société.
Sous la plume vive et précise des frère Goncourt, les femmes du siècle des
Lumières prennent vie sous nos yeux.
aujourd’hui reconnus pour leurs talents de romanciers, et la célèbre Académie
créée par Edmond. Mais ce que l’on ignore, c’est que les deux frères étaient
aussi des passionnés d’histoire. Dans la continuité de leurs oeuvres
naturalistes,
qui mettent souvent en scène la gent féminine, les deux hommes se sont
penchés sur la condition des femmes qui les ont précédés.
Dans La Femme au XVIIIe siècle, les Goncourt décortiquent le quotidien des
jeunes filles et les conséquences d’une éducation souvent oppressante.
Dans les plus hautes sphères sociales, ils dépeignent une éducation qui
empêche toute spontanéité : grâce factice, éducation religieuse et stricte du
couvent, mariage sans consultation…
Sont dépeintes aussi les femmes philosophes, celles qui tiennent salon, comme
Mme de Tencin, Mme de Lambert ou Mme du Deffand, et les intrigantes prêtes à
défaire des ministères…
Au sein de la bourgeoisie, la famille limite le passage au couvent et préfère
laisser aux jeunes femmes le libre choix de leur époux. Enfin, pour reprendre
la formule des Goncourt, la femme du peuple « n’est femme que par le sexe,
est peuple
avant d’être femme ». Pourtant, les archives retrouvées par les deux
écrivains montrent que les actrices et les courtisanes étaient traitées en
égal dans la haute société.
Sous la plume vive et précise des frère Goncourt, les femmes du siècle des
Lumières prennent vie sous nos yeux.
S'identifier pour envoyer des commentaires.