- EAN13
- 9782360408030
- Éditeur
- Artège Editions
- Date de publication
- 03/05/2013
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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-
Papier - Artège Editions 22,00
Le présent ouvrage réunit les communications présentées au colloque
international organisé par l'Institut de droit canonique et le Centre PRISME-
UMR7012 de l'Université de Strasbourg, qui s'est tenu le 6 mai 2011 dans le
but d'observer la manière dont un système normatif tel que le droit canonique,
régissant dans un certain nombre de domaines une multitude de populations à
travers le monde, envisage et met en oeuvre la relation entre droit universel
et droits particuliers. Le Législateur présente le Codex iuris canonici de
1983 comme étant un instrument indispensable pour assurer l'ordre aussi bien
dans la vie individuelle et sociale que dans l'activité de l'Eglise elle-même
. Cette nouvelle législation de l'Eglise catholique latine formule, en des
termes juridiques, la théologie conciliaire issue de Vatican II. Cette
dernière conçoit l'Eglise comme une communion, au sein de laquelle le principe
de subsidiarité soutient une véritable interaction entre loi universelle et
loi particulière. La place du ius particulare dans le droit de l'Eglise est
singulièrement accentuée dans le Code des canons des Eglises orientales
(CCEO), promulgué en 1990. Pour des raisons tenant plus particulièrement au
respect des traditions propres à ces Eglises, une large part y est laissée au
droit particulier, réel mode d'expression de l'unité dans la pluralité au sein
de l'Eglise universelle. Le droit universel donne ainsi au droit particulier
sa signification ; il circonscrit ses domaines d'application et éclaire les
enjeux liés à sa mise en oeuvre, conformément à la tradition normative de
l'Eglise. Les Actes ici publiés entendent mettre en lumière ces différents
aspects du droit particulier dans une perspective résolument comparée, et
évaluer la réalité et la vivacité des droits particuliers au sein des
communautés ecclésiales, dans l'Eglise latine comme dans les Eglises
orientales catholiques. Ils contribuent à nourrir la réflexion de tous ceux
qui s'interrogent sur l'opportunité de promouvoir davantage le ius particulare
au sein de l'Eglise catholique.
international organisé par l'Institut de droit canonique et le Centre PRISME-
UMR7012 de l'Université de Strasbourg, qui s'est tenu le 6 mai 2011 dans le
but d'observer la manière dont un système normatif tel que le droit canonique,
régissant dans un certain nombre de domaines une multitude de populations à
travers le monde, envisage et met en oeuvre la relation entre droit universel
et droits particuliers. Le Législateur présente le Codex iuris canonici de
1983 comme étant un instrument indispensable pour assurer l'ordre aussi bien
dans la vie individuelle et sociale que dans l'activité de l'Eglise elle-même
. Cette nouvelle législation de l'Eglise catholique latine formule, en des
termes juridiques, la théologie conciliaire issue de Vatican II. Cette
dernière conçoit l'Eglise comme une communion, au sein de laquelle le principe
de subsidiarité soutient une véritable interaction entre loi universelle et
loi particulière. La place du ius particulare dans le droit de l'Eglise est
singulièrement accentuée dans le Code des canons des Eglises orientales
(CCEO), promulgué en 1990. Pour des raisons tenant plus particulièrement au
respect des traditions propres à ces Eglises, une large part y est laissée au
droit particulier, réel mode d'expression de l'unité dans la pluralité au sein
de l'Eglise universelle. Le droit universel donne ainsi au droit particulier
sa signification ; il circonscrit ses domaines d'application et éclaire les
enjeux liés à sa mise en oeuvre, conformément à la tradition normative de
l'Eglise. Les Actes ici publiés entendent mettre en lumière ces différents
aspects du droit particulier dans une perspective résolument comparée, et
évaluer la réalité et la vivacité des droits particuliers au sein des
communautés ecclésiales, dans l'Eglise latine comme dans les Eglises
orientales catholiques. Ils contribuent à nourrir la réflexion de tous ceux
qui s'interrogent sur l'opportunité de promouvoir davantage le ius particulare
au sein de l'Eglise catholique.
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