- EAN13
- 9782917817476
- ISBN
- 978-2-917817-47-6
- Éditeur
- Contre-Allée
- Date de publication
- 16/02/2016
- Collection
- LA SENTINELLE
- Nombre de pages
- 224
- Dimensions
- 19 x 13,6 x 1,9 cm
- Poids
- 248 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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Vendu par Les Lisières à Villeneuve d'Ascq18.00
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L’AUTEUR
Pablo Martín Sánchez s’est d’abord distingué avec Fricciones, finaliste du prix « La Tormenta en un Vaso » dans la catégorie meilleure révélation. Puis avec un premier roman imposant El anarquista que se llamaba como yo (L’Anarchiste qui s’appelait comme moi), primé Meilleure Première Œuvre par le journal El Cultural.
Entre-temps, il traduit Marcel Schwob, Alfred Jarry, Raymond Queneau, Bernard-Marie Koltès et Wajdi Mouawad, dont la traduction de Anima sera primée « el Premi Llibreter 2014 » (Meilleur roman étranger).
Ex-athlète, ex-comédien, ex-chercheur, Pablo Martín Sánchez devient écrivain après sa découverte de l’Oulipo lors d’un séjour à Paris. De retour en Espagne, il prépare une thèse au titre prometteur de L’Art de combiner des fragments : pratiques hypertextuelles dans la littérature oulipienne (Raymond Queneau, Italo Calvino, Georges Perec, Jacques Roubaud).
Pablo Martín Sánchez réside à Barcelone. Coopté par l’Oulipo, il y rejoint son ami Eduardo Berti en 2014. Frictions est son premier ouvrage traduit en français.
LE TRADUCTEUR
Jean-Marie Saint-Lu, avec plus d’une centaine de traductions - dont l’œuvre d’Eduardo Berti -, est un grand « passeur » d’auteurs espagnols et latino-américains. Il a enseigné la littérature latino-américaine à l’université de Paris X-Nanterre, puis à celle de Toulouse-Mirail.
Rencontre avec Pablo Martin Sanchez et son traducteur Jean-Marie Saint-Lu
FrICTIONS
Avec Pablo Martín Sánchez
Ex-athlète, ex-comédien, ex-chercheur, Pablo Martín Sánchez devient écrivain après sa découverte de l’ Oulipo lors d’ un séjour à Paris. De retour en Espagne, il prépare une thèse au titre prometteur de L’ Art de combiner des fragments : pratiques hypertextuelles dans la littérature oulipienne (Raymond Queneau, Italo Calvino, Georges Perec, Jacques Roubaud). En juin 2014, il entre à l’ Oulipo.
Entre-temps paraît Fricciones, finaliste du prix « La Tormenta en un Vaso » dans la catégorie meilleure révélation. Puis un premier roman El anarquista que se llamaba como yo (L’ Anarchiste qui s’ appelait comme moi), primé Meilleure Première Œuvre par le journal El Cultural.
Depuis, il a également traduit Marcel Schwob, Alfred Jarry, Raymond Queneau, Bernard-Marie Koltès et Wajdi Mouawad, dont la traduction d’ Anima a reçu le « Premi Llibreter 2014 » (Meilleur roman étranger).
Pablo Martín Sánchez réside aujourd’ hui à Barcelone. Il y enseigne l’ écriture créative à l’ École d’ écriture de l’ Ateneu barcelonès.
Frictions est son premier ouvrage traduit en français.
« Quand on ne sait pas quelle est la meilleure façon de révéler un secret, on choisit, dans le meilleur des cas, la ligne courbe ; dans le pire, l’ arabesque. Parfois, on en vient même à écrire une nouvelle. »
Dans le cadre du festival "Le Nord-Pas-de-Calais se livre".
Commentaires des libraires
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