- EAN13
- 9782258045101
- ISBN
- 978-2-258-04510-1
- Éditeur
- Omnibus
- Date de publication
- 12/09/1996
- Collection
- Omnibus (1)
- Séries
- Romans / Jane Austen. (1)
- Nombre de pages
- 1050
- Dimensions
- 20 x 13,1 x 3,4 cm
- Poids
- 664 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1 - Orgueil et préjugés - Raison et sentiments - Emma - Lady Susan
De Jane Austen
Préface de Virginia Woolf
Omnibus
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Sous l'apparence de la chronique provinciale où on s'amuse, où on se moque, où on pleure et où on rit beaucoup, c'est sans doute cette quête du vrai qui fait la modernité et l'universalité de ces trois romans écrits il y a deux cents ans.
" Marianne était née pour un destin extraordinaire ; il devait lui être donné de découvrir la fausseté des premières impressions et de contredire par sa conduite ses maximes favorites. " Marianne n'épousera pas le beau Willoughby vers lequel la poussait une passion irrésistible mais s'attachera au sage colonel Brandon. Comme Elinor, comme Elizabeth Bennet ou Emma, elle affrontera vaillamment la trahison des sentiments et la dure réalité des lois sociales avant d'apprendre à ses dépens les règles du jeu.
Sous l'apparence de la chronique provinciale où on s'amuse, où on se moque, où on pleure et où on rit beaucoup, c'est sans doute cette quête du vrai qui fait la modernité et l'universalité de ces trois romans écrits il y a deux cents ans et tous récemment adaptés pour le cinéma ou la télévision.
A propos de leur auteur, Virginia Woolf écrivit : " Une de ces fées qui se penchent sur les berceaux a dû s'envoler avec elle à sa naissance et survoler le monde. Dès lors, elle sut à quoi il ressemblait. Tous ses écrits sont parfaits, achevés, reliés non au presbytère familial mais à l'univers. " Elle fut la première des grandes romancières anglaises.
" Marianne était née pour un destin extraordinaire ; il devait lui être donné de découvrir la fausseté des premières impressions et de contredire par sa conduite ses maximes favorites. " Marianne n'épousera pas le beau Willoughby vers lequel la poussait une passion irrésistible mais s'attachera au sage colonel Brandon. Comme Elinor, comme Elizabeth Bennet ou Emma, elle affrontera vaillamment la trahison des sentiments et la dure réalité des lois sociales avant d'apprendre à ses dépens les règles du jeu.
Sous l'apparence de la chronique provinciale où on s'amuse, où on se moque, où on pleure et où on rit beaucoup, c'est sans doute cette quête du vrai qui fait la modernité et l'universalité de ces trois romans écrits il y a deux cents ans et tous récemment adaptés pour le cinéma ou la télévision.
A propos de leur auteur, Virginia Woolf écrivit : " Une de ces fées qui se penchent sur les berceaux a dû s'envoler avec elle à sa naissance et survoler le monde. Dès lors, elle sut à quoi il ressemblait. Tous ses écrits sont parfaits, achevés, reliés non au presbytère familial mais à l'univers. " Elle fut la première des grandes romancières anglaises.
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