- EAN13
- 9782603018767
- ISBN
- 978-2-603-01876-7
- Éditeur
- Delachaux et Niestlé
- Date de publication
- 24/05/2012
- Collection
- ENVIRONEMENT (1)
- Nombre de pages
- 537
- Dimensions
- 2 x 1 x 0 cm
- Poids
- 712 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Code dewey
- 577.27
- Fiches UNIMARC
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Avant que nature meure… Pour que nature vive...
pour une écologie politique
De Jean Dorst
Delachaux et Niestlé
Environement
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Beaucoup de choses se sont passées depuis que, en 1965, Jean Dorst a publié son fameux Avant que nature meure, analyse vivante et prémonitoire de la crise d’érosion de la biodiversité aujourd’hui avérée. Et appel à l’action : pour que l’homme se réconcilie avec la nature. Les faits donnent raison à cette analyse documentée et réfléchie. Tous ont besoin de la profondeur de ce récit, de son ampleur tant naturaliste qu’historique et géographique, pour être pleinement compris.
Certes, des avancées réelles ont été obtenues sur le plan des connaissances, de la prise de conscience, de la mobilisation et de l’action. Mais la biodiversité continue de se déchirer. Pourquoi ? Que faire ? D’abord, relire Avant que nature meure, qui a conservé toute son actualité, sa pertinence… et sa saveur. Ensuite, s’appuyer sur une synthèse de ce qui s’est passé depuis 1965, sur les développements en matière de connaissance et de protection de la biodiversité, et sur les obstacles qui persistent.
Avec Et pour que nature vive, Robert Barbault prolonge ce récit écologique, avec des rappels fréquents sur les clairvoyances étonnantes d’actualité. Il confirme la réalité de la crise d’extinction de la biodiversité et en précise l’ampleur et les modalités, à la lumière des faits… et des analyses de Jean Dorst. Il s’attache ensuite à souligner l’ample mobilisation qui s’est déployée depuis les années 1970, et ouvre la perspective – encore utopique mais qui s’enracine –, de cette réconciliation avec la nature, dans un esprit de solidarité écologique, sur la base d’une éthique de la biosphère.
Avant que nature meure a posé dès 1965 les fondements scientifiques de la biodiversité. C’est une prise de conscience avant-gardiste, bien avant les sommets de Rio et de Johannesburg. Le vingtième anniversaire du sommet de Rio est l’occasion de redécouvrir ce texte majeur.
Certes, des avancées réelles ont été obtenues sur le plan des connaissances, de la prise de conscience, de la mobilisation et de l’action. Mais la biodiversité continue de se déchirer. Pourquoi ? Que faire ? D’abord, relire Avant que nature meure, qui a conservé toute son actualité, sa pertinence… et sa saveur. Ensuite, s’appuyer sur une synthèse de ce qui s’est passé depuis 1965, sur les développements en matière de connaissance et de protection de la biodiversité, et sur les obstacles qui persistent.
Avec Et pour que nature vive, Robert Barbault prolonge ce récit écologique, avec des rappels fréquents sur les clairvoyances étonnantes d’actualité. Il confirme la réalité de la crise d’extinction de la biodiversité et en précise l’ampleur et les modalités, à la lumière des faits… et des analyses de Jean Dorst. Il s’attache ensuite à souligner l’ample mobilisation qui s’est déployée depuis les années 1970, et ouvre la perspective – encore utopique mais qui s’enracine –, de cette réconciliation avec la nature, dans un esprit de solidarité écologique, sur la base d’une éthique de la biosphère.
Avant que nature meure a posé dès 1965 les fondements scientifiques de la biodiversité. C’est une prise de conscience avant-gardiste, bien avant les sommets de Rio et de Johannesburg. Le vingtième anniversaire du sommet de Rio est l’occasion de redécouvrir ce texte majeur.
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