- EAN13
- 9782823131338
- ISBN
- 978-2-8231-3133-8
- Éditeur
- Editions Persée
- Date de publication
- 25/11/2020
- Collection
- P.PERSEE LIVRES
- Nombre de pages
- 114
- Dimensions
- 21 x 14,8 x 0,6 cm
- Poids
- 147 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
Vendu par Les Lisières à Villeneuve d'Ascq12.00
Autre version disponible
« Le Ponte Vecchio coule sous la pluie
Et l’Arno s’endort aux sons malappris
De badauds bavards bruissant au ciel gris
Pales reflets d’une foule alanguie
Nos pas nous portent jusqu’au Baptistère
Le Dôme surgit immense écrasant
De grands murs sertis de noir et de blanc
Écrins de marbre au plus profond mystère
Le cœur de Florence accueille à l’envie
Les baisers volés de jeunes amants
Antiques amours bercées par le temps
Violents attraits tendre passion
D’amours exhumées douce exhalaison
Le cœur de Florence accueille la vie »
Philosophe et juriste de formation, Gérard Andrau se consacre à la poésie après une carrière financière dans le secteur bancaire puis comme Conseil Indépendant en gestion de patrimoine. Il se décrit comme le poète de l’intermittence : de longs silences séparent ses temps d’inspiration. L’art du sonnet qu’il tente d’apprivoiser répond sans doute chez lui au fait que quatorze vers lui suffisent pour exprimer ses émotions.
Et l’Arno s’endort aux sons malappris
De badauds bavards bruissant au ciel gris
Pales reflets d’une foule alanguie
Nos pas nous portent jusqu’au Baptistère
Le Dôme surgit immense écrasant
De grands murs sertis de noir et de blanc
Écrins de marbre au plus profond mystère
Le cœur de Florence accueille à l’envie
Les baisers volés de jeunes amants
Antiques amours bercées par le temps
Violents attraits tendre passion
D’amours exhumées douce exhalaison
Le cœur de Florence accueille la vie »
Philosophe et juriste de formation, Gérard Andrau se consacre à la poésie après une carrière financière dans le secteur bancaire puis comme Conseil Indépendant en gestion de patrimoine. Il se décrit comme le poète de l’intermittence : de longs silences séparent ses temps d’inspiration. L’art du sonnet qu’il tente d’apprivoiser répond sans doute chez lui au fait que quatorze vers lui suffisent pour exprimer ses émotions.
S'identifier pour envoyer des commentaires.