EAN13
9782875720412
ISBN
978-2-87572-041-2
Éditeur
CFC
Date de publication
Collection
CFC - Éditions
Nombre de pages
224
Dimensions
22,5 x 15 x 1,6 cm
Poids
360 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Le Jardinier de la Grand-Place

Lettres à mes petits-enfants

Cfc

CFC - Éditions

Indisponible
Un livre de la collection La Ville écrite qui fait revivre le marché aux fleurs de la Grand-Place de Bruxelles.
« Ce ne sont pas les voyages qui ont formé ma jeunesse, mais la taille, le bêchage et
la colère. » (Prologue)
À l’heure où la question écologique se pose avec une urgence sans précédent, où les grandes villes réfléchissent à ces enjeux en terme de mobilité, de piétonisation des centres touristiques, de réduction de la pollution atmosphérique, de présence du végétal en leurs murs… mais aussi, de façon plus précise encore, à la qualité de l’alimentation, au maraîchage urbain, à une production locale de fruits et de légumes, à ce que l’on nomme à présent les « circuits courts », …
Sait-on qu’au cœur même de la ville de Bruxelles, en son centre historique, visité par des touristes du monde entier, sur cette Grand-Place à l’architecture somptueuse, aux maisons de corporations mordorées, s’est tenu au fil des siècles, des années, des mois, des semaines… très précisément depuis l'an 1170 un marché aux légumes, un marché aux oiseaux suivi d’un marché aux fleurs ?
Récit qui témoigne de la fin de ce marché, ces Lettres d’un jardinier à ces petits enfants donnent à lire une parole singulièrement vive, personnelle, d’un horticulteur dont, pendant plusieurs générations, la famille a produit des plantes et travaillé sur ce marché.
Homme du végétal, moraliste à ses heures, Jean-Louis Van Malder nous livre un témoignage qui dépasse l’anecdote, le local, porté par une écriture qui revendique son élan, sa sincérité et dont certains accents pourraient faire songer à Jules Renard ou Louis Guilloux. Il nous offre ainsi une page d’histoire sensible, émouvante, caustique, sur le Bruxelles d’hier et d’aujourd’hui.
La préface est signée par l’écrivain bruxellois Jacques Vandenschrick.
Une posface, réalisée par l’historienne Thérèse Symons, donne au lecteur quelques éléments permettant de replacer le récit dans le contexte général de l’histoire de la
ville, et de ses marchés en particulier.
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