- EAN13
- 9782350871158
- ISBN
- 978-2-35087-115-8
- Éditeur
- Héloïse d'Ormesson
- Date de publication
- 07/05/2009
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 266
- Dimensions
- 20,7 x 14 x 1,8 cm
- Poids
- 275 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843
- Fiches UNIMARC
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Où l'on découvre qui est le meilleur ami de l'homme.
Au printemps, Philippe se sépare de sa femme et perd son travail. Il est alors happé dans la spirale infernale : sans emploi, pas de logement, et sans logement, pas d'emploi. Devenu SDF, il est confronté à la dure loi de la rue, faite de solitude, de honte, et de violence. Jusqu'au jour où, au cœur de l'hiver, il rencontre Baudelaire, un irrésistible corniaud. Grâce à ce compagnon d'infortune, Philippe se lie d'amitiés avec les commerçants du 14e. Un soir, sur une péniche qui accueille les sans abris et leurs animaux, le vétérinaire du bord diagnostique un cancer au chien. Le traitement est cher. Pour sauver Baudelaire, Philippe doit gagner de l'argent et donc s'en sortir. Avec l'aide d'un vendeur de kebab, d'une riche veuve et d'une dame pipi, il réussit à remonter la pente et à soigner Baudelaire. Mais au moment où il retrouve une vie normale, et où Baudelaire semble définitivement tiré d'affaire, celui-ci meurt. L'animal a sauvé l'homme qui était devenu bête. Harold Cobert mêle romanesque et vérité sociale, poésie et âpreté. Son récit du processus de marginalisation est aussi une poignante histoire d'amitié.
" Je chante les chiens calamiteux, soit ceux qui errent solitaires, dans les ravines sinueuses des immenses villes, soit ceux qui ont dit à l'homme abandonné, avec des yeux clignotants et spirituels : " Prends-moi avec toi, et de nos deux misères nous ferons peut-être une espèce de bonheur! ' " Charles Baudelaire, extrait des Bons Chiens
Au printemps, Philippe se sépare de sa femme et perd son travail. Il est alors happé dans la spirale infernale : sans emploi, pas de logement, et sans logement, pas d'emploi. Devenu SDF, il est confronté à la dure loi de la rue, faite de solitude, de honte, et de violence. Jusqu'au jour où, au cœur de l'hiver, il rencontre Baudelaire, un irrésistible corniaud. Grâce à ce compagnon d'infortune, Philippe se lie d'amitiés avec les commerçants du 14e. Un soir, sur une péniche qui accueille les sans abris et leurs animaux, le vétérinaire du bord diagnostique un cancer au chien. Le traitement est cher. Pour sauver Baudelaire, Philippe doit gagner de l'argent et donc s'en sortir. Avec l'aide d'un vendeur de kebab, d'une riche veuve et d'une dame pipi, il réussit à remonter la pente et à soigner Baudelaire. Mais au moment où il retrouve une vie normale, et où Baudelaire semble définitivement tiré d'affaire, celui-ci meurt. L'animal a sauvé l'homme qui était devenu bête. Harold Cobert mêle romanesque et vérité sociale, poésie et âpreté. Son récit du processus de marginalisation est aussi une poignante histoire d'amitié.
" Je chante les chiens calamiteux, soit ceux qui errent solitaires, dans les ravines sinueuses des immenses villes, soit ceux qui ont dit à l'homme abandonné, avec des yeux clignotants et spirituels : " Prends-moi avec toi, et de nos deux misères nous ferons peut-être une espèce de bonheur! ' " Charles Baudelaire, extrait des Bons Chiens
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