- EAN13
- 9791022600637
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 16/01/2014
- Collection
- Bibliothèque Hispanique
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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Carlos emmène son fils Jorge en montagne pour un week-end entre hommes, c’est
sa mère qui l’élève et il le voit très peu.
Il le trouve étrange, trop rond, trop bébé pour ses quatorze ans, bref il est
déçu par cet ado renfermé et maladroit dont il veut faire un homme, un vrai.
Mais dès le début de la balade c’est Carlos qui découvre ses limites physiques
et son incapacité à communiquer avec son enfant. Le séjour s’annonce
difficile, surtout qu’au chalet les attend la nouvelle petite amie de Carlos,
qu’il ne l’a pas dit à son fils et qu’elle n’est pas un modèle de discrétion.
Carmen restée en ville tombe sur un manuscrit laissé chez elle par Carlos, un
polar scabreux et terriblement efficace ; peu à peu elle y voit de drôles de
ressemblances avec la réalité, des prémonitions macabres, des menaces à peine
voilées contre elle ou contre son fils. L’angoisse monte, les sous-entendus se
multiplient.
Elle tente d’appeler Jorge, mais Carlos a confisqué son téléphone.
Désespéré et humilié le garçon s’enfuit dans la forêt et disparaît...
On ne lâche plus ce roman parfaitement noir où tout le monde, lecteur inclus,
s’échine à lire entre les lignes « ce qui n’est pas écrit », et s’imagine le
pire.
Thriller psychologique basé sur les rancœurs et les frustrations, se déployant
dans une nature inquiétante sur une trame de film d’horreur habilement
construite, ce texte confirme la virtuosité stylistique et l’inventivité
narrative de son auteur.
sa mère qui l’élève et il le voit très peu.
Il le trouve étrange, trop rond, trop bébé pour ses quatorze ans, bref il est
déçu par cet ado renfermé et maladroit dont il veut faire un homme, un vrai.
Mais dès le début de la balade c’est Carlos qui découvre ses limites physiques
et son incapacité à communiquer avec son enfant. Le séjour s’annonce
difficile, surtout qu’au chalet les attend la nouvelle petite amie de Carlos,
qu’il ne l’a pas dit à son fils et qu’elle n’est pas un modèle de discrétion.
Carmen restée en ville tombe sur un manuscrit laissé chez elle par Carlos, un
polar scabreux et terriblement efficace ; peu à peu elle y voit de drôles de
ressemblances avec la réalité, des prémonitions macabres, des menaces à peine
voilées contre elle ou contre son fils. L’angoisse monte, les sous-entendus se
multiplient.
Elle tente d’appeler Jorge, mais Carlos a confisqué son téléphone.
Désespéré et humilié le garçon s’enfuit dans la forêt et disparaît...
On ne lâche plus ce roman parfaitement noir où tout le monde, lecteur inclus,
s’échine à lire entre les lignes « ce qui n’est pas écrit », et s’imagine le
pire.
Thriller psychologique basé sur les rancœurs et les frustrations, se déployant
dans une nature inquiétante sur une trame de film d’horreur habilement
construite, ce texte confirme la virtuosité stylistique et l’inventivité
narrative de son auteur.
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